Sigmund Freud
J'ai enlevé la pile de mon horloge. Je fige le temps. Trop facile, j'aurais dû y penser avant. Je reste là, devant mon écran tout blanc, enfoncée dans le divan. Elvis dans les oreilles, je suis loin d'avoir envie de danser. Je vous ai déjà dit que je n'aimais pas les lundis. Je pense à n'importe quoi.
J'essaie de me divertir de moi-même.
Nous avons passé les deux derniers jours au bord de l'eau, sous l'eau.
Je suis noyée.
Je suis mon bourreau intime.
Mon insconscient est une chimère.
Amputez-le.

bonjour Pauline
RépondreSupprimerj aime ton blog que je voyais sur facebook. je ne suis pas une reine du facebook.
j avais posté un mot mais a priori il n est pas passe. je te disais que j avais lu le livre de Christian Bobin le dernier qui s appelle "un assassin blanc comme neige" il est bourré de phrases merveilleuses ciselées comme des pierres précieuse tu pourrais t en servir, va voir a la librairie française je pense qu ils l ont Bobin est unécrivain de mon âge qui ecrit merveilleusement bien . je te recommande la lecture d"très bas" "la petite robe de fête" "la part manquante"il parle aussi de l Alzheimer de son père c est discret leger toujours positif. c est du miel pour l'esprit
bisous et bonne journée
Patricia